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Conte, objets, musique – Dès 10 ans 45 min. / Myriam Gautier et Daniel Paboeuf
Spectacle hors les murs, rendez-vous à l’espace Hermine, la petite salle située en dessous la salle Hermine (Plouha)
Dans le bar qui appartenait à son père, Myriam Gautier nous raconte une histoire de famille poignante à travers la figure de Dionysos.
Souvent uniquement considéré comme le dieu du vin, Dionysos est plus exactement le dieu de l’ivresse : c’est-à-dire le dieu du passage entre deux mondes, entre deux états. Son nom signifie celui qui est né deux fois. Sorti du ventre de sa mère et de la cuisse de son père, il est tout aussi bien humain et divin, roi et vagabond… Il est double, et même multiple.
À travers un récit qui mêle mots, musique et objets, Myriam Gautier nous raconte une histoire intemporelle et touchante de naissance et de renaissance.
« Pépé bernique, c’est mon grand-père. A sa mort, j’ai eu envie de parler de notre relation, de ce lien qui remplit, guide, construit. Pépé Bernique est alors devenu le titre d’un spectacle, le personnage d’une histoire. Mais dans cette histoire, il y a un deuxième personnage, appelons-le « la petite fille ». Pépé Bernique c’est le récit de la relation entre un pépé et sa petite fille à différents moments de leurs vies. L’une grandit, l’autre vieillit. Les deux, d’une certaine manière, se construisent ensemble. » Marina Le Guennec
Ces instants, tout simples et pourtant très forts, prennent vie sur scène à travers les mots de la comédienne Marina Le Guennec et les dessins de l’illustratrice Agathe Halais. Ensemble, elles animent une foule de petits objets parfois inattendus (assiette, mouchoir, petite voiture), empilent des cubes, les assemblent et les couvrent de dessins… L’illustratrice opère à vue, teste, déplace, esquisse, dessine une grande fresque pendant que la comédienne nous raconte cette jolie relation entre une petite fille qui grandit et un pépé qui vieillit.
« Pépé bernique, c’est mon grand-père. A sa mort, j’ai eu envie de parler de notre relation, de ce lien qui remplit, guide, construit. Pépé Bernique est alors devenu le titre d’un spectacle, le personnage d’une histoire. Mais dans cette histoire, il y a un deuxième personnage, appelons-le « la petite fille ». Pépé Bernique c’est le récit de la relation entre un pépé et sa petite fille à différents moments de leurs vies. L’une grandit, l’autre vieillit. Les deux, d’une certaine manière, se construisent ensemble. » Marina Le Guennec
Ces instants, tout simples et pourtant très forts, prennent vie sur scène à travers les mots de la comédienne Marina Le Guennec et les dessins de l’illustratrice Agathe Halais. Ensemble, elles animent une foule de petits objets parfois inattendus (assiette, mouchoir, petite voiture), empilent des cubes, les assemblent et les couvrent de dessins… L’illustratrice opère à vue, teste, déplace, esquisse, dessine une grande fresque pendant que la comédienne nous raconte cette jolie relation entre une petite fille qui grandit et un pépé qui vieillit.
https://www.calameo.com/read/006994007f8fadc5dbec0
Mytho Perso à la médiathèque de St Etienne de Montluc (44)
10h et 11h15
Tournée Contes en Scènes en partenariat avec le département de la Vendée
Bibliothèque – 10 bis Rue de Bel-Air- 85700 MENOMBLET – 02 51 50 77 06
CHEZ DIONYSOS
Dans le cadre de la Saison Culturelle de Montfort-sur-Meu, la compagnie Les Becs Verseurs et Myriam Gautier vous proposent un théâtre d’objets intitulé « Chez Dionysos » à la salle de L’ Avant-Scène le 18 avril à 14h puis 20h30.
Souvent uniquement considéré comme le dieu du vin, Dionysos est plus exactement le dieu de l’ivresse : c’est-à-dire le dieu du Passage, entre deux mondes, entre deux états. Son nom signifie celui qui est né deux fois. Il est sorti du ventre de sa mère et de la cuisse de son père, il est tout aussi bien humain et divin, roi et vagabond… Il est double, et même multiple.
Sur scène, un comptoir, une étagère, des objets et des propos de tous les jours, des bruits de verre et un saxophone, la violence du mythe et le courage de l’amour. L’ivresse. La peur de la mort et un goût certain pour la vie.
Pour résumer, on pourrait dire que dans la vie, c’est mieux d’être bien accompagné, et par conséquent, dans la mort aussi, que ce soit pour celles et ceux qui partent comme pour celles et ceux qui restent.